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Entrepreneur: Écouter mon corps et mon coeur

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Ils nous envoient des signes avant coureur pour nous avertir

Comme vous le constaterez dans cet article, quand nous sommes entrepreneurs, il faut apprendre à écouter son corps mais aussi son coeur. Hier,  j’ai écouté un livre audio que j’ai dévoré en une seule journée. Des phrases et des mots ont résonné si forts dans ma tête et dans mon cœur que je me devais écrire un article de blog sur ce que j’ai ressentie.

Celle qui m’a le plus frappé est : « Vous êtes l’artiste de votre vie et vous pouvez en faire un chef d’œuvres ». J’ai réalisé que tout est un art autant de se réaliser en tant que personne, autant savoir communiquer avec les autres et autant savoir qui nous sommes.

Le livre est  La maitrise de l’amour apprendre l’art des relations  de Don Miguel Ruiz. Le même auteur des 4 accords toltèques que je n’ai pas encore lu mais que je me promets de faire par la suite. Évidemment, vous devez aimer les livres spirituels et êtres prêts à entendre la vérité et sortir du mensonge.

Pour cela, il faut être simplement ouvert à ce genre de lecture. Parfois, nous ne sommes pas rendus là dans notre chemin de vie et c’est correct comme ça. D’autres fois, ça frappe fort comme moi hier haha. Sur ce coup-ci, la vie m’a forcé à rester au repos et j’ai écouté mon coeur pour soulager mon corps inconsciemment.

La méditation me permet d’écouter mon corps et mon coeur

Je fais souvent de la méditation le soir par le biais de Youtube et des méditations guidées en ligne. Je ne suis pas une grande fanatique de dévorer des bouquins. Je suis plus du type qui aime se faire lire des histoires. Donc,  toute ma concentration est centrée sur l’important.

La méditation permet de faire le vide et d’enlever toute forme de stress. Aussi, de vous libérer d’émotions envahissantes ou vous recentrer et canaliser vos énergies aux bonnes places. Ce moment de bien-être permet d’écouter votre corps et votre coeur sans interférence.

Les livres audio me permettre de rentabiliser mon temps et d’apprendre

Sinon, je suis assez hyperactif du cerveau. Alors, les livres audio me permettre de bouger et faire mes occupations tout en apprenant. Lorsque j’ouvre un livre, soit j’aime soit je n’aime pas. Pour me garder attentive, il faut vraiment que le livre me tienne en suspend.

La plupart des livres que j’ai achetés sont près du chevet de mon lit et seulement le prologue a été lu depuis quelques années. Je sais, c’est terrible. Par contre, avec les livres-audio j’ai trouvé comment jumeler l’utile à l’agréable. Je ne m’endors plus après la lecture d’un chapitre. 

J’avais besoin de lire ce livre

Bref, je naviguais sur Youtube en regardant sans attente et puis ce livre vient dans mes suggestions de lecture. J’hésite et le mets dans « à regarder plus tard ». Et puis, j’ai senti que je devais l’écouter. Moi qui ne comprends pas trop encore comment voir les signes de la vie. Je crois après quelques jours que cela en était un.

À ce moment même, j’avais besoin de lire ce livre. J’avais besoin de réponses ou de pistes. Avec tout ce bruit mental, j’avais besoin écouter mon corps et mon coeur et de me recentrer avec l’important : Moi.

Il y a des choses que je savais déjà mais que j’avais besoin de me faire redire encore pour qu’enfin mon cerveau l’enregistre et le mettre en pratique. Et d’autres choses que je ne voulais pas entendre mais qui répondaient exactement à mes questions.

Je devais apprendre à écouter avec mon cœur et non ma raison et mettre en sourdine ce dialogue mental. Cela me rappelait encore qu’il faut que j’écouter mon corps et mon coeur.

Quand la maladie frappe

Dernièrement, j’ai subi une blessure au trapèze, épaule droit et progressant ver l’hypothèse d’une cervico-brachialgie ainsi qu’un syndrôme myofascial. J’ai du arrêter de travailler et aussi mettre de côté mes créations artistiques. Ne rien faire pour moi était signe de faiblesse et de lâcheté.

Mais, j’acceptais et faisais ce qu’il fallait pour retrouver mes capacités. La physiothérapie et  l’ergothérapie m’ont beaucoup aidé à gérer la douleur et comprendre mieux travailler avec mon corps. Aussi, de faire attention à ma posture et de respecter mes limites corporelles.

Par contre, je me sentais limitée dans mes mouvements. Je devais choisir quelle tâche j’allais accomplir à chaque jour. Parfois, je pouvais seulement faire la vaisselle et plier mon linge et/ou la tondeuse. Souvent, plusieurs tâches de base que je faisais facilement autrefois devaient maintenant attendre au lendemain.

Je n’étais plus maitre de mon corps et je devais l’écouter. Même si notre coeur veut, si notre corps ne suit pas cela ne fonctionne pas toujours.

Encore une fois, je devais écouter mon corps car il a parlé très fort ici et cela voulait dire de modifier ma perception de travailler durement. Je devais prendre soin de moi, me reconstruire, respecter les limites de mon corps, de l’écouter et d’accepter sa vitesse de réhabilitation.

Mon corps m’envoyait des signes que je n’écoutais pas

Avant même que la blessure arrive, je savais que cela arriverait. Mon corps m’envoyait des signes que je n’écoutais pas. Même si je suis entrepreneur, quand notre corps nous parle il faut l’écouter. Je me bourrais d’Advils et je me disais que JE DEVAIS travailler et avoir un salaire et que je NE POUVAIS PAS me permettre de dire non ou de fixer mes limites. Tout cela pour une question d’argent. Parce que, comme on le sait, seulement vivre de l’art n’est pas toujours assez pour vivre.

Par contre, lorsque notre corps ne suit plus la cadence, il faut savoir peser sur le bouton pause au bon moment avant qu’il ne soit trop tard. Il faut respecter notre corps, notre coeur mais, aussi nos limites et y aller progressivement. Chose que je ne me suis pas permise et dont j’aurais dû. J’avais sentie un mauvais feeling par mon instinct ou voix intérieure ou intuition selon comment vous l’appelez.

Je me suis convaincue que c’était mon égo qui me parlait et qui ne voulait pas retourner faire un travail qui ne correspondait pas à mes désirs. Je me sis peut-être trompée amis il est maintenant trop tard et je l’accepte. Je suis maintenant prise avec une maladie chronique et de la médication à vie.

Mettre en sourdine ma petite voix intérieure

Donc, j’acceptais mon sort et me disais que je devais être réaliste et trouver un travail « Normal » pour payer les factures. Et que, depuis plusieurs années, j’avais déjà beaucoup essayé pour vivre seulement de mon art et cela n’était plus réaliste avec ma situation même si au fond de moi je savais que pour être heureuse dans la vie je devais créer.

J’ai du mettre en sourdine ma petite voix intérieure et lui dire « Ola, tu vois bien que tu rêves trop grand, regarde ou cela te mène… tu as frôlé la faillite personnelle, tu as liquidé tous tes avoir pour un rêve et de plus tu te retrouves encore à la case départ… prends toi un job comme tout le monde, va travailler durement même si tu n’aimes pas ça et payes tes choses, et lorsque tu auras du temps libre alors tu feras des créations. »

Voici l’Égo et la peur qui ont parlé et je l’ai écouté car je ne voyais pas d’autres options raisonnables pour avancer. 

J’apprends beaucoup des enfants

Alors, j’ai appliqué dans des emplois qui avaient besoin de main d’œuvres et où je pourrais m’assurer un revenu de base pour ne pas vivre l’angoisse de manquer de fonds. J’ai quand même été là ou je pouvais évoluer et avoir un intérêt. Donc, je me suis retrouvée éducatrice en garderie.

J’ai adoré mon expérience et de renouer avec les enfants et leur spontanéité m’ont fait un très grand bien. L’amour inconditionnel qui s’y retrouve et leur façon de vivre le moment présent me fascinaient. J’ai énormément appris d’eux et je leur ai donné plein d’amour en échange.

La moindre bévue pouvais me faire perdre mon emploi

Par contre, je trouvais la charge très lourde auprès des patrons et des parents. J’avais 8 à 10 enfants sous ma responsabilité et je devais apprendre comment fonctionner avec eux non comme un parent mais comme une éducatrice. La moindre bévue pouvais me faire perdre mon emploi. Parce qu’on se le dise, la tolérance est zéro et je n’avais pas le droit à l’erreur.

J’ai appris que certains fonctionnement que je croyais bons ne l’étaient pas. Que je ne pouvais rester fâchée après un enfant parce que lui-même oubliait l’évènement quelques minutes plus tard. Je ne pouvais crier après un enfant, car il reproduisait ce que je faisais. Je devais leur démontrer de l’amour même si cela était une moins bonne journée pour moi et surtout je devais apprendre l’art d’accompagner un enfant quand je n’en ai même pas moi-même.

Alors, oui j’ai appris autant que je leur ai appris des choses et cela me sera utile toute ma vie. Mon coeur de maman a été comblé mais mon corps n’a pas aimé les microbes.

Je ne me sentais pas à ma place

Un système immunitaire au bout du rouleau

Il y a deux points qui ont fait que je ne me sentais pas à ma place et que je ne passerais pas ma vie là. J’étais toujours extrêmement malade et ma patience était mise à l’épreuve. Mon corps me parlait mais je ne l’écoutais pas. Je l’ai mis à l’épreuve jusqu’à temps que je me demande si je ne finirai pas aux urgences avec toute cette fièvre forte et après une blessure au dos.

Bref, la première année, les éducatrices disaient que c’était normal d’attraper tous les microbes. Je me suis convaincue que c’était le cas. Mais après un an, je commençais à douter de mon système immunitaire. Définitivement le mien était fragile à cet environnement et je passais mes journées de congés à dormir et me reposer pour être en forme pour la prochaine semaine à venir avec ces petits monstres (alias cœurs sur deux pattes).

Travailler pour quelqu’un d’autre qui n’a pas les mêmes valeurs

Le deuxième point était le système en place axé sur le profit et dont les besoins des enfants étaient respecté sans pour autant améliorer leurs conditions. Le problème est ma franchise légendaire et de me mettre toujours dans la position des parents des enfants. Je me dis : Est-ce que j’accepterais cela si c’était mon enfant!?

La réponse est non alors je le mentionne poliment mais le manque d’ouverture était ancré et une compagnie reste une compagnie qui doit payer ses employés et faire des profits pour continuer. Cela ne correspondait pas avec mes valeurs et je devais me plier aux exigences. Choses que j’ai réussie à faire et « m’en foutre » un certain temps jusqu’à ce qu’on me congédie.

Je voyais que c’était trop pour mes capacités mais par orgueil je continuais quand même

J’en viens au fait que, mon corps m’a avertis plusieurs fois et que je ne l’ai pas écouté parce que j’avais besoin d’un revenu. Il s’est produit la même chose à mon dernier emploi. Je voyais que c’était trop pour mes capacités physiques mais par orgueil je continuais quand même. Je voyais qu’on nous demandait toujours plus, être rentable, être productif, être toujours plus pour combler la main d’œuvre manquante. 

Endoctriné sur l’argent, la productivité, la rentabilité et le profit

Ceci étant dit, peu importe le travail que j’ai fait dans ma vie, et que vous aurez fait aussi, nous avons été endoctriné dans une société axée sur l’argent, la productivité, la rentabilité et le profit. On nous impose depuis l’enfance à suivre des règles bien établies.

On nous fait croire que si on étudie longtemps nous aurons de gros salaires et que la partie est gagnée. À long terme, je crois que nous pouvons passer à côté de ce qui est vraiment important : notre santé et notre bien-être.

Suivre le moule de la société

Chose encore que j’ai faite pour me prouver que j’étais intelligente : poursuivre mes études jusqu’au baccalauréat en design graphique (dont j’ai buché mais adoré) pour me retrouver 10 ans plus tard avec le même constat : un domaine saturé, salaire moindre et productivité exigeante pour finalement finir en burn out pour une compagnie qui s’en fout de ta santé et ton moral.

On va me dire, oh tu exagères y’a de bonnes places quand même! Oui, j’imagine mais selon mon expérience, j’en n’ai pas trouvé, désolée. On vit dans une société malade basée sur le profit et non sur la qualité de la vie humaine. Et dans ces moments, je me sens née à la mauvaise époque. Je veux écouter mon corps et mon coeur mais il est difficile d’avancer dans une société qui n’a pas les même valeurs que toi.

Développer son intelligence financière

Pour développer votre intelligence financière, je vous invite à lire ou écouter le livre audio Le Quadrant du Cashflow Un guide pour atteindre la liberté financière de Robert T. Kiyosaki. Ce livre a été un vraie révélation pour moi comprenant mieux le processus pour trouver une équilibre financière.

Ce livre est vraiment complet et parle de points que nous n’apprenons pas à l’école ou de faits que nous comprenons subitement par rapport à notre insécurité financière et la façon dont nous avons été formés pour être des employés. 

Comment vivre et non comment survivre

On nous a tellement inculqué des valeurs fausses et loin de la vraie nature de la vie. Les gens sont malheureux, plusieurs souffrent de plus en plus d’anxiété dont moi incluse. On a oublié de nous enseigner comment vivre et non comment survivre.

Comme pour les arts, j’ai du taire les petites voix qui me disaient les mêmes phrases dogmatiques que c’est un milieu de crève faim, que personne ne réussie à gagner sa vie là-dedans, que nous sommes un peu trop rêveurs et pas assez réalistes, etc.

Apprendre à me faire confiance et à écouter mon intuition

La chose que je peux confirmer c’est que le moment où je me suis lancé à mon compte, j’ai fait un plongeon énorme dans l’inconnu. Cela a créé de l’insécurité et une angoisse périodique ainsi que de nombreuses remises en question.

Mais vous savez quoi? Grâce à cela, j’ai évolué beaucoup plus vite que je ne l’aurais espérée. J’ai du apprendre à me faire confiance et à écouter mon intuition. ET SURTOUT d’écouter mon corps et mon coeur. Aussi, ne pas considérer les commentaires désobligeants des gens et de leurs jugements. Quand j’ai compris cela, je n’avais plus besoin de l’approbation des gens et ce fut un énorme soulagement.

Je suis le créateur de ma vie

Je venais de comprendre j’étais le créateur de ma vie. Peu importe ce que les gens allaient dire, c’est moi qui prends ce chemin et non eux. Je fais les efforts et construis mon avenir. Aussi, c’est moi qui vivra avec les conséquences ou les merveilleuses coïncidences.

Je ne regretterai jamais d’avoir emprunté la voix de mon cœur parce que je suis la seule à savoir ce qui est bien pour moi et ce qui me rend heureuse. J’ai écouté mon coeur qui me montrait le chemin d’entrepreneur, mais j’ai parfois oublié d’écouter mon corps qui me sonnait l’alarme. Mais chose sure, mon cerveau continue d’apprendre même si mon corps ne suit plus la cadence lol!

Partager mon expérience

Pour conclure, même si je n’appréciais pas le fait d’être en arrêt, cela m’a forcé à renouer avec l’écriture. Donc, cela m’a permis aussi de développer mon blog. Je repoussais ce moment  souvent car je ne savais plus ou je me dirigeais.

Maintenant, j’ai compris que si je veux atteindre le plus de gens, leur partager mon expérience ainsi que de les motiver, le blog était LA meilleure méthode. Je peux écrire en écoutant mon coeur malgré mes limitations de mon corps et de diffuser mon expérience personnelle.

Un moyen de partager les vraies choses de la vie

Avec l’internet, on peut chercher l’information qu’on désire et non celle qu’on nous impose et alors lire ce qui nous anime et aussi de s’inspirer des gens. Il n’y a plus de limite pour les lieux et les langues. Nous avons enfin un moyen de partager les vraies choses de la vie.

Je vous souhaite de renouer avec l’enfant en vous et de vous écouter même si parfois cela est difficile. Dites-vous : ” À partir de maintenant,  j’ai besoin de réapprendre à écouter mon corps et mon coeur sans jugement.” Votre nouveau mantra pour vous sentir mieux avec vous-mêmes.

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Faire ce que l’on aime 2 la suite

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Remerciements pour mes lecteurs

Premièrement, je tiens à remercier tous ceux qui ont écris de merveilleux commentaires sur l’article : Faire ce que l’on aime.
Cet article a eu une retombé incroyable du côté des anglophones et je crois que les gens sont restés sur leur soif. Ils en demandent plus. Je ne suis pas ici pour dire aux gens comment faire ce qu’ils aiment mais, par mon parcours, peut-être leur donner des pistes pour y accéder. En passant, tous mes textes sont écris en français et je suis curieuse qu’on m’explique si c’est Google qui procède à la traduction!? En tout cas, c’est génial! Je ne serais pas aussi fluide si j’écrivais en anglais lol. Par contre, sachez que je comprends l’anglais et que je peux vous répondre dans cette langue.

Chaque personne est unique et a un parcours différent

Je remarque que les lecteurs désirent avoir une réponse à leur questionnement mais sachez que chaque personne est unique et a un parcours différent. Donc, je ne peux vous donner une recette juste et équitable pour tous. Tous ce que je peux faire, c’est de vous expliquer par mon vécu pourquoi j’en suis rendue là. Ce qui me semble un peu bizarre c’est que ce texte a été écris il y a deux ans et que je l’ai réadapter pour sa structure de référencement web. Je ne considère pas que ce texte est mon meilleur. Pourtant, c’est celui-là qui a attiré les gens. J’imagine que de parler de son vécu rejoint plus facilement les internautes que d’écrire pour simplement offrir du contenu.

Donner le goût aux personnes d’écouter leur coeur et de poursuivre vers ce qu’ils aiment

Bref, je comprends que la façon la plus efficace est de parler avec son coeur, comme de créer avec son coeur et de tout faire avec un amour inconditionnel sans barrière ni peur du jugement. Certains ont dit que j’avais dérivé de ce premier texte avec mes seconds articles. Je vous répondrai avec toute ma franchise et honnêteté : Je suis ici pour donner le goût aux personnes d’écouter leur coeur et de poursuivre vers ce qu’ils aiment. Pour ma part, c’est les arts. Ce blog parlera principalement des ARTS parce que c’est ce que j’aime et qui me fait vibrer. L’art c’est vaste. Cela peut passer de la peinture, au bricolage, à la musique et à l’expression littéraire.

L’écriture est une forme d’art

Parmi mes dons, j’ai aussi une facilité à écrire immédiatement ce qui me passe par l’esprit. C’est fluide, je me mets devant mon ordi et tout sort boum! Évidemment, je dois parfois penser à des sujets et faire un petit brainstorming dessus et voir lequel m’inspire le plus qu’un autre. Quand mon cerveau bouillonne et que je me parle mentalement et commence un discours, je me dis : Ok c’est le temps d’aller écrire! Je ponds tout le texte, fais des paragraphes et trouve le principal sujet de chaque paragraphe pour en faire un sous-titre. J’élabore les points forts que je veux communiquer. Par la suite, je fais la correction du texte. Je réajuste les mots qui se répètent et je change un peu la structure des phrases avec des marqueurs de relations, des verbes actifs, supprimant le plus possible les verbes “être” et “avoir” et les doublons. Je ne prends pas de grands détours et je vais droit au but. J’ai eu des professeurs très exigeants au cégep qui m’ont donné du fil à retorde.Tu sais ceux qui vénèrent le dictionnaire là, oui oui ceux qui dorment avec. Des passionnés de la littérature un peu trop intenses et sévères dont la moyenne de classe était de 55%. Il faut croire que cela m’a servi hahaha. Sachez aussi que j’ai suivi des formations pour écrire des textes de blog sur la mise en forme et le référencement web et je crois que les résultats sont là.

Comment je fais pour écrire de cette façon

J’ai eu beaucoup de questions sur ” comment je fais pour écrire de cette façon”. J’écris c’est tout. Je n’ai pas de formule gagnante. À vous de trouver comment vous exprimer. Je crois que le principal blocage des gens à écrire c’est qu’ils sont trop exigeants envers eux-mêmes et tentent de faire la perfection au début. Ils ont peur des jugements des lecteurs. Ça, vous devez apprendre à vous en foutre! C’est un des principaux blocages d’une écriture fluide. Je conclue ce point en vous disant qu’il faut écrire parce qu’on aime l’écriture et non pas parce qu’on veut faire un blog comme tout le monde! Tu as le don ou non mais tu as le droit d’essayer. Et puis, fais-le pour toi, pour sortir le méchant, pour partager une idée et non pour provoquer ou chercher l’attention et l’approbation des autres. Bref, Sois libre! Et n’oubliez pas, aucune facilité dans la vie, tu dois apprendre et pratiquer, faire ta propre expérience et en tirer tes propres jugements.

Je vous invite aussi à lire les articles suivants :

Vous êtes créateur de votre bonheur

10 trucs pour développer sa créativité

Je ferai probablement un ” Faire ce que l’on aime 3″ en parlant de mon parcours depuis ma naissance, si cela vous intéresse, cela me fera plaisir de partager mon vécu avec vous.

Merci à tous et à la prochaine !

Véronique Léonard
Propriétaire de La Boîte ateliers créatifs
et écrivaine à ses heures hahaha!